CONDORMAN (1981)



Avec Condorman, Walt Disney surfe sur la vague de l'espionnage et du succès des "trois jours du condor" pour apporter sa vision familiale de la guerre froide. À noter l'excellent travail du casse cou du cinéma Français, Remy Julienne en forme olympique. Les studios Disney se sont librement inspiré du Condorman Japonais "Kondoruman" série TV datant de 1975.


Réalisation Charles Jarrott
Acteurs principaux Michael Crawford, Oliver Reed, Barbara Carrera
Scénario Mickey Rose et Marc Stirdivant
Décors Albert Witherick
Costumes Kent James et Jean Zay
Photographie Charles F. Wheeler
Montage Gordon D. Brenner
Musique Henry Mancini
Production Jan Williams
Durée 90 minutes
Sortie 2 juillet 1981

Woody, un dessinateur américain, travaille à Paris où il imagine les aventures du super-héros Condorman, non sans s'assurer auparavant que les exploits de son personnage sont réalistes. Il n'hésite ainsi pas à se jeter du haut de la Tour Eiffel avec le costume de Condorman avant de finir son vol dans la Seine.
Lorsque son ami Harry, qui travaille pour la CIA, doit engager un civil américain pour livrer des documents à Istanbul, il fait appel à Woody. Celui-ci accepte et accomplit sa mission avec brio en se faisant passer pour un agent secret opérant sous le nom de « Condorman ». Il fait à cette occasion la connaissance de la belle Natalia, une espionne russe, qui révèle bientôt l'existence de Condorman au KGB. De retour à Paris, Woody est chargé d'une nouvelle mission : aider un agent russe à passer à l'Ouest. Il refuse d'abord, par crainte du danger, avant de se raviser lorsqu'il apprend que l'agent n'est autre que Natalia.

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Avec les doublages de Pierre arditi et de Jean Pierre Kalfon (acteur et doubleur) qui ont du bien se marrer dans le studio autour d'une bouteille de pinard.




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